Il y a quelques jours, j’étais de passage à Paris. Alors que je raccompagnais mon amie Sarah à la gare Saint Lazare, je n’ai pas pu m’empêcher de retourner à mes vieilles habitudes. Et voici mes pieds précèdent qui précèdent ma pensée et en un instant, je me retrouve à déambuler au rayon des livres de la FNAC. N’ayant que trop de livres dans ma PAL, je vais cette fois-ci au niveau des BD. Mes yeux se perdent jusqu’à m’arrêter devant une couverture kitchissime. Un homme et une femme s’enlacent sur un fond rose « poupée » à vomir, digne des vieux romans photos. Et le titre ne déçoit pas: Et si l’amour c’était aimer. Evidemment, je sens de plein nez le second degré et me dit que cette BD va me plaire. Sans surprise, cette magnifique BD est signée Fabcaro. Je l’avais adoré avec sa BD Zaï zaï zaï zaï.
Je commence ma lecture dans les rayons et ne peux m’empêcher de pouffer de rire dès les premières pages. Tout commence avec un couple et une sombre histoire de macédoine. Non, je recommence. Vous savez quoi? Voici les premières pages et vous allez toute suite sentir le ton.
C’est un humour absurde que j’adore. Rigolant tellement, j’ai pris la BD sous le bras et suis partie à la caisse. J’ai presque eu le temps de la finir sur le trajet de retour à la maison.
Un grand moment de rigolade. De second, troisième, quatrième, que dis-je millième degré. Avec Fabcaro, la lecture est une suite de surprises renouvelée chaque jour. Je conseille vivement !
Et si l’amour, c’était aimer, de Fabcaro, éditions 6 Pieds Sous Terre, 56 pages, 17,98€.
Je retrouve l’humour de Fabcaro qui m’avait tant plus dans son « Moonriver ». Parfois au 1000e degré effectivement, mais c’est bon parfois !
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Je n’ai pas lu Moonriver. Je rajoute à ma liste!
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Je ne connaissais pas Fabcaro. Vous éveillez en moi le désir de le lire.
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Très drôle, je recommanderai Zai Zai Zai Zai pour découvrir son univers. Ou encore le roman Le Discours.
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