Saison hivernale, je retourne dans ma maison d’enfance pour célébrer Noël. En retournant dans ma chambre, je trouve parfaitement mis en évidence, une série de livres dont j’avais l’intention de lire ou relire il y a quelques années. Ils s’y trouvent : Les Orphelins Baudelaire, Les Chroniques de Spiderwick and Les Chroniques de Narnia. Il y a quelques semaines, j’ai regardé le film Narnia, Le Lion, La Sorcière Blanche et l’armoire Magique. Je ne l’avais pas vu depuis des années et la musique (que j’écoutais en boucle) m’a replongé en enfance. Pour rester dans l’ambiance, mon choix de lecture s’est porté sur Narnia, le premier tome Le Neveu du Magicien, que je n’ai jamais lu.
Dès les premières lignes, je me retrouve projetée dans un Londres du début du XXe siècle. Les gens se déplacent encore à cheval ou en fiacre. Le petit Diggory vit avec son oncle et sa tante dans une maison mitoyenne. Sa mère étant malade, Digory se sent un peu seul jusqu’à ce qu’il rencontre Polly, la petite voisine. Ils s’amusent tous les deux dans les combles qui relient la rangée de maisons.
Cependant, lors de leurs aventures sous les toits, ils tombent dans le bureau du vilain oncle Andrew, qui bidouille des artefacts magiques dans le plus grand secret. Pour les punir de leur curiosité, ils décident de tester deux bagues sur les enfants. Il ne les a testé que sur un hamster jusqu’à présent mais ils voudraient voir plus grand. En faisant preuve de ruse, il place la première bague sur Polly qui disparait de la pièce. Puis il fait du chantage à son neveu pour qu’il rejoigne Polly peu importe où elle disparu et qu’ils reviennent tous les deux pour lui témoigner de ce qu’ils ont vu.
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